Philosophie et Bravitude

10 juin 2007

Aujourd'hui, il me semble que j'avais quelque chose de prévu… mais quoi ? Vous faites quelque chose, vous ? Bon, peu importe ! Vous savez que je n'hésite jamais à donner un coup de main aux jeunes (à condition qu'il ne bavent pas, ne braillent pas et se tiennent à l'écart à l'heure des repas).

Et justement, demain est une date importante pour vos chers bambins : c'est l'épreuve de philosophie du baccalauréat ! J'ai réussi à me procurer le sujet de l'Agagadémie de Poitou-Charentes, je le livre illico à nos jeunes philosophes :

"Vous venez de prendre une branlée électorale mémorable, pour la cinquième fois de suite. Pensez-vous qu'il faut prendre les choses avec philosophie ? Ou bien allez vous vous laisser les stoïciens vaquer à leurs affaires et exploser la tronche de ces pédés d'éléphants roses qui commencent à vous les casser sérieux, non mais quoi c'est vrai à la fin ?".

Sujet de rechange : "La bravitude est-elle une variante Schopenhauérienne plus volontariste de la branlitude, au-delà de la réalité connaissable Kantienne. En d'autres termes 'ne te connais pas toi-même' est-il une cause de gamelle électorale ? Développez le concept Nietzchéo-Jospinien de l'Éternel Retour".

Vous avez quatre heures. Glissez votre copie dans l'urne en sortant et ne claquez pas la porte derrière vous. Publication du corrigé, Dimanche prochain, 17 juin, 20 heures.

Bien à vous,

Jacques

P.S. : Aucun rapport, mais vous avez vu que j'ai reçu les photos du G8 ? Enfin, 8…

P.P.S. : Demain "Dans le Fillon".